27 septembre 2007
Le rugby français ne s’est jamais aussi bien porté
Ah, j’entends d’ici : « On commence à le connaître le Willy. L’humour britannique sans doute. L’art de lancer du chaud et du froid. Le genre ailier chétif qui vient foutre le bordel devant par un mauvais geste avant de s’éclipser… Bref, il vient se foutre...